Pourquoi la "liberté d’expression" ne justifie pas la tolérance de l’extrême droite
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L’argument "je suis pour la liberté d’expression, donc je tolère toutes les idées, même celles de l’extrême droite" est une fausse neutralité qui pose un problème fondamental car il repose sur une confusion entre liberté d’expression et impunité des discours oppressifs.
Si la démocratie garantit la liberté d’expression, elle n’a pas à protéger les idéologies qui cherchent à la détruire. L’extrême droite ne défend pas simplement des "idées différentes", elle milite pour une société autoritaire, inégalitaire et violente.
Beaucoup pensent que la liberté d’expression signifie "tout dire sans conséquence". C’est faux.
Selon le site de la :
La liberté d'expression octroie à tout individu le droit d'exprimer ses opinions (sous la forme écrite, orale, audiovisuelle...) sans risquer d'être sanctionné. Cette liberté est consacrée dans le droit français par la Déclaration des droits de l'Homme et du citoyen (DDHC), qui fait partie du . Il s'agit d'une liberté fondamentale. La liberté d'expression permet et conditionne l'exercice d'autres droits et libertés tels que la , la , la ou le . Dans une de 1994, le définit la liberté d'expression comme "une liberté d'autant plus précieuse que son existence est une des garanties essentielles du respect des autres droits et libertés". L'article 10 de la précise que la liberté d'expression "comprend la liberté d'opinion et la liberté de recevoir ou de communiquer des informations ou des idées sans qu'il puisse y avoir ingérence d'autorités publiques et sans considération de frontière".
Toujours, selon le site de la vie publique :
Tout en affirmant la liberté d'expression, l'article 11 de la DDHC en pose les limites : "tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la ".
Selon la , la liberté d'expression peut être limitée pour des motifs :
d'intérêt général, comme la sécurité nationale, la sûreté publique ou encore l'intégrité du territoire ;
relatifs au devoir de réserve qui pèse sur les agents publics (exigence d'un certain niveau de neutralité des agents de la fonction publique dans l'expression de leurs opinions) ;
de protection de droits de la personnalité visant à éviter toute diffamation, discrimination ou atteinte excessive à la vie privée d'autrui ;
de protection de certains documents, notamment ceux relatifs au secret de la défense nationale ou encore certains documents confidentiels sur des affaires judiciaires en cours.
En France, plusieurs lois encadrent strictement la liberté d’expression pour empêcher la propagation de la haine et de la discrimination.
📜 Le Code pénal et la loi sur la liberté de la presse
Seront punis d'un an d'emprisonnement et de 45 000 € d'amende ceux qui auront contesté, par un des moyens énoncés à l'article 23, l'existence d'un ou plusieurs crimes contre l'humanité tels qu'ils sont définis par l'article 6 du statut du tribunal militaire international annexé à l'accord de Londres du 8 août 1945 et qui ont été commis soit par les membres d'une organisation déclarée criminelle en application de l'article 9 dudit statut, soit par une personne reconnue coupable de tels crimes par une juridiction française ou internationale.
Seront punis des mêmes peines ceux qui auront nié, minoré ou banalisé de façon outrancière, par un des moyens énoncés à l'article 23, l'existence d'un crime de génocide autre que ceux mentionnés au premier alinéa du présent article, d'un autre crime contre l'humanité, d'un crime de réduction en esclavage ou d'exploitation d'une personne réduite en esclavage ou d'un crime de guerre défini aux articles 6,7 et 8 du statut de la Cour pénale internationale signé à Rome le 18 juillet 1998 et aux articles 211-1 à 212-3,224-1 A à 224-1 C et 461-1 à 461-31 du code pénal, lorsque :
📢 ➡️ La loi française punit clairement les discours racistes, sexistes, homophobes, transphobes et validistes. Ceux qui s’en réclament ne défendent pas la liberté d’expression, ils enfreignent la loi !
Quand l’extrême droite est rappelée à l’ordre par la justice ou les plateformes, elle crie à la censure et à la "dictature du politiquement correct", alors qu’il ne s’agit que du respect des lois protégeant la société. Cette stratégie de victimisation vise à masquer une prise de pouvoir numérique massive, où ces acteurs imposent leur agenda réactionnaire en manipulant les codes des réseaux sociaux.
L’un des arguments favoris de l’extrême droite est de dénoncer le "politiquement correct" et le "wokisme", qu’elle présente comme une oppression contre la liberté d’expression.
Elle fait interdire des conférences universitaires sur l’histoire coloniale ou le genre, sous prétexte de "wokisme".
Elle attaque les œuvres culturelles (films, séries, livres) qui ne rentrent pas dans sa vision traditionaliste (ex : polémiques sur "Barbie", "La Petite Sirène" ou "Black Panther").
Elle exige la dissolution d’associations progressistes (ex : Ligue des Droits de l’Homme, collectifs antiracistes ou féministes).
Elle criminalise la mémoire historique, en attaquant par exemple les recherches sur la colonisation et l’esclavage.
📢 ➡️ L’extrême droite se présente comme une victime de la "cancel culture", alors qu’elle pratique la censure dès qu’une idée ne lui plaît pas.
Elle joue la carte du "simple débat" : en présentant des idées racistes ou sexistes comme de simples opinions, elle leur donne une légitimité médiatique.
Elle force les médias traditionnels à débattre de thèmes fascisants : immigration, insécurité, "décivilisation", "grand remplacement", etc.
Elle diabolise la lutte contre les discriminations : tout effort pour protéger les minorités est décrit comme un "terrorisme intellectuel", du "wokisme", de "l'islamo-gauchisme", etc.
📢 ➡️ L’extrême droite ne veut pas de liberté d’expression pour tous, elle veut une impunité totale pour ses discours de haine, tout en muselant ses opposants.
Ce discours normalise progressivement des idées fascistes et affaiblit les résistances démocratiques :
📈 Montée des agressions racistes, sexistes et LGBTQ+phobes, encouragées par la banalisation des discours de haine.
🎯 Attaques contre les journalistes et chercheurs qui exposent l’extrême droite (harcèlement, menaces de mort, pressions judiciaires).
🛃 Légitimation de politiques autoritaires : lois sécuritaires, restrictions des libertés, répression des manifestations progressistes.
🤬 Effet d’auto-censure : la peur du harcèlement et des représailles pousse certaines personnes à ne plus dénoncer les dérives fascistes.
📢 ➡️ Accepter les arguments de l’extrême droite sur la liberté d’expression, c’est lui donner les moyens de détruire la démocratie de l’intérieur. 📚 Source :
Condamné en 1969 à 2 mois de prison avec sursis et 10 000 francs d'amende pour apologie de crime de guerre, après avoir publié un disque de chants nazis dont la pochette minimisait la montée du IIIe Reich.
Condamné en 1986 pour antisémitisme insidieux, après avoir ciblé plusieurs journalistes d'origine juive dans une déclaration publique.
Condamné en 1988 à un franc symbolique de dommages et intérêts pour banalisation de crimes contre l'humanité, après avoir qualifié les chambres à gaz nazies de "point de détail de l'histoire".
Condamné en 1991 à 1,2 million de francs d’amende pour banalisation de crimes contre l'humanité et "consentement à l'horrible", après avoir réitéré ses propos sur les chambres à gaz.
Condamné en 1993 pour injure publique raciale, après avoir qualifié le président de SOS-Racisme, Fodé Sylla, de "gros zébu fou".
Condamné en 2005 à une amende pour incitation à la haine raciale, après avoir déclaré : « Le jour où nous aurons en France, non plus 5 millions mais 25 millions de musulmans, ce sont eux qui commanderont. Et les Français raseront les murs. »
Condamné en 2009 à 3 mois d'emprisonnement avec sursis et 10 000 € d'amende pour contestation de crime contre l'humanité, après avoir affirmé que "l'occupation allemande n'a pas été particulièrement inhumaine".
Condamné en 2016 par la Cour européenne des droits de l'homme, qui rejette son recours contre ses condamnations pour apologie de crimes de guerre et contestation de crime contre l'humanité.
Condamné en 2017 à 5 000 € d’amende pour provocation à la haine et à la discrimination, après avoir déclaré que les Roms avaient une "présence urticante et odorante".
Condamné en 2018 à 30 000 € d’amende pour négation de crime contre l’humanité, après avoir réaffirmé que "les chambres à gaz sont un détail de l'histoire".
Condamné en 2019 à 2 400 € d’amende pour injures publiques visant des homosexuels, après avoir tenu des propos associant homosexualité et pédophilie.
Condamné en 1998 à un an d’inéligibilité et trois mois de prison avec sursis pour violences sur une élue socialiste, Annette Peulvast-Bergeal, lors d’une altercation en campagne électorale.
Mis en examen en 2019 pour détournement de fonds publics dans l'affaire des assistants parlementaires du Front National au Parlement européen.
Mise en examen en 2015 pour "incitation à la haine raciale" après avoir comparé les prières de rue musulmanes à l'Occupation nazie.
Condamnée en 2023 à 500 € d'amende avec sursis pour diffamation envers la Cimade, après l'avoir accusée d'organiser une "filière d'immigration clandestine" à Mayotte. Peine confirmée en appel en 2024.
Condamné en 2011 à 2 000 € d’amende avec sursis pour provocation à la discrimination raciale, après avoir déclaré que les employeurs avaient le droit de refuser des "Arabes ou des Noirs" et affirmé que "la plupart des trafiquants sont Noirs et Arabes".
Condamné en 2018 à 5 000 € d’amende pour provocation à la haine religieuse envers les musulmans, après avoir déclaré qu'ils devaient "choisir entre l’islam et la France" et assimilé les djihadistes à de "bons musulmans". Condamnation confirmée par la Cour européenne des droits de l’homme en 2022.
Condamné en 2022 à 10 000 € d’amende pour complicité d’injure raciale et provocation à la haine, après avoir affirmé que "les mineurs isolés sont voleurs, assassins, violeurs, c’est tout ce qu’ils sont".
Condamné en 2024 à 15 000 € d’amende pour provocation à la haine contre les migrants et les mineurs isolés, après avoir déclaré que la France vivait une "invasion" et que les banlieues françaises subissaient un "djihad".
Condamné en 2022 à 165 000 € d’amende pour contrefaçon de droits d’auteur, après avoir utilisé des extraits de films sans autorisation dans son clip de campagne présidentielle.
Condamné en 2023 à 4 000 € d’amende et 3 000 € de dommages et intérêts pour injure raciste, après avoir tenu des propos méprisants sur Hapsatou Sy. Condamnation confirmée en appel en 2024.
Condamné en 2024 à 1 000 € d’amende avec sursis pour complicité de diffamation publique, après avoir accusé la députée Danièle Obono de sympathie envers Mohamed Merah.
Condamné en 2020 à 10 000 € d’amende pour injure et provocation à la haine, après avoir tenu un discours anti-musulmans à la "convention de la droite" organisée par Marion Maréchal.
Condamné en 2023 à 1 000 € d’amende pour diffamation homophobe, après avoir affirmé que les homosexuels "avaient asservi l’État à leur profit". Relaxé en appel en 2024.
Condamné en 2016 à 3 000 € d’amende pour provocation à la haine envers les musulmans, après avoir déclaré que la seule solution à l’immigration musulmane était "le départ massif".
Relaxé en 2021, puis de nouveau jugé en appel en 2025, après avoir déclaré que "Pétain avait sauvé les juifs français", ce qui a conduit à une procédure pour contestation de crime contre l’humanité.
Condamné en 2008 à 3 000 € d’amende pour incitation à la haine raciale, après avoir affirmé sur France 2 que "la formation qualifiante pour exister dans les médias aujourd’hui, c’est d’être sioniste".
Condamné en 2013 à 5 000 € d’amende et retrait de publications pour incitation à la haine raciale et antisémitisme, après avoir édité des ouvrages comme Le Juif international d’Henry Ford ou La France juive d’Édouard Drumont.
Condamné en 2015 à 10 000 € d’amende pour injures raciales, après avoir réalisé une quenelle devant le mémorial de la Shoah à Berlin.
Condamné en 2016 à 6 mois de prison avec sursis pour apologie de crimes de guerre et contre l’humanité, après avoir tenu des propos diffamatoires contre les époux Klarsfeld.
Condamné en 2017 à trois mois de prison ferme pour négationnisme, après avoir publié une caricature négationniste sur son site Égalité & Réconciliation.
Condamné en 2019 à un an de prison ferme pour injure antisémite, après avoir qualifié le Panthéon de "déchetterie casher" en référence à l’entrée de Simone Veil.
Condamné en 2020 à 90 jours-amende et 4 mois de prison pour provocation à la haine après avoir insinué que les Juifs étaient responsables de l’incendie de Notre-Dame de Paris.
Condamné en 2021 à 150 jours-amende et 22 500 € d’amende pour injure publique antisémite, après avoir diffusé une photo de lui réalisant une quenelle devant le tribunal de Colmar.
Condamné en 2022 en Suisse à 60 jours de prison ferme pour diffamation et incitation à la haine, après des propos homophobes visant une journaliste. Condamnation confirmée par le Tribunal fédéral en 2024.
Condamné en 2023 à 12 000 € d’amende pour injure raciale, après avoir tenu des propos racistes contre Farida Belghoul.
Condamné en 2024 à 40 jours de prison ferme en Suisse pour incitation à la haine et discrimination, après des propos contre les LGBTQ+ et les Juifs.
Condamné en 2004 à 4 mois de prison avec sursis pour l’entartage du curé de la basilique Saint-Denis.
Condamné en 2009 à 7 500 € d’amende pour incitation à la haine raciale, après avoir accusé un responsable de la Ligue des droits de l’Homme d’incarner "l’esprit corrosif du judaïsme".
Condamné en 2012 à 5 000 € d’amende pour diffamation raciale, après avoir affirmé dans Rivarol que les Juifs avaient une "propension particulière à l'inceste".
Condamné en 2012 à 6 000 € d’amende pour injures homophobes, après des propos visant Bertrand Delanoë.
Condamné en 2013 à 3 mois de prison ferme pour menaces de mort envers Bertrand Delanoë.
Condamné en 2015 à 3 mois de prison ferme pour diffamation raciale et incitation à la haine, après la publication de son livre Les Milliards d’Israël.
Condamné en 2016 à 2 mois de prison ferme pour tweets antisémites, accusant les Juifs d’être "les premiers responsables du massacre de 30 millions de chrétiens en URSS entre 1917 et 1947".
Condamné en 2016 à 1 an de prison ferme pour provocation à la haine raciale, après plusieurs publications sur les réseaux sociaux accusant les Juifs de contrôler les médias et l’économie mondiale.
Condamné en 2016 à 5 mois de prison ferme pour injure et provocation à la haine raciale, après la publication de son livre Comprendre le judaïsme, comprendre l’antisémitisme.
Condamné en 2018 à 1 an de prison ferme pour publication de vidéos antisémites.
Condamné en 2019 pour négationnisme, après avoir publié un montage photo tournant en dérision la Shoah.
Incarcéré en 2020 pour 17 mois, en exécution de plusieurs peines prononcées entre 2017 et 2020 pour incitation à la haine raciale et négationnisme.
Condamné en 2021 à 3 200 € d’amende pour provocation à la haine et contestation de crimes contre l’humanité.
Condamné en 2022 à 20 jours-amendes de 100 € pour diffusion de vidéos antisémites sur YouTube.
Condamné en 2019 pour "reconstitution de ligue dissoute", après avoir poursuivi les activités de L'Œuvre française malgré son interdiction.
Condamné en 2021 à 1 500 € d’amende pour violences en bande organisée, après avoir agressé des journalistes de Quotidien lors d’une manifestation anti-PMA en 2019.
Condamné en 2021 pour diffamation et provocation à la haine raciale, après la publication d’une vidéo où il décrit les Juifs comme étant "naturellement incestueux".
Condamné en 2022 à 10 000 € d’amende pour contestation de crime contre l'humanité, après avoir publié un article minimisant le nombre de morts de la Shoah.
Condamné en 2023 à 10 000 € d’amende pour injure publique, après avoir traité un avocat de "raclure" et "voyou" sur Twitter.
Fait l’objet d’une plainte en 2023 pour apologie du terrorisme, déposée par l’Observatoire juif de France.
Condamné en 2014 à 2 000 € d’amende pour un article dénonçant la prétendue "tyrannie juive".
Condamné en 2016 à 11 000 € d’amende pour plusieurs tweets antisémites et négationnistes.
Condamné en 2020 à trois mois de prison avec sursis pour incitation à la haine raciale, après la publication de tweets antisémites en 2018.
Condamné en 2020 à 1 500 € d’amende pour provocation à la haine, après des tweets affirmant qu’on ne pouvait être que "judéophobe".
Condamné en 2020 à deux fois 500 € d’amende pour injure raciale, après un éditorial contre Simone Veil et un tweet citant un spectacle de Dieudonné.
Condamné en 2020 à 1 000 € d’amende pour injure raciale, après la diffusion d’une vidéo intitulée "Faut-il détruire l'État d'Israël ?".
Condamné en 2021 à 8 000 € d’amende pour contestation de crime contre l’humanité et provocation à la haine envers les Juifs.
Condamné en 2007 à trois mois de prison avec sursis et 55 000 € d’amende pour contestation de crimes contre l’humanité, après des propos minimisant la Shoah.
Mis en examen en 2018 pour abus de confiance, dans le cadre de l’affaire des assistants parlementaires du FN au Parlement européen.
Proche des milieux négationnistes : en contact avec Robert Faurisson, qu’il a défendu après sa mort en 2018.
Apologie du régime de l’apartheid : en 1987, il visite l’Afrique du Sud et minimise la ségrégation raciale.
Déclarations islamophobes : en 2008, il qualifie l’islam d’"invasion de notre patrie et destruction de notre culture", entraînant une plainte de la LICRA.
Condamné en 2024 à 3 000 € d’amende pour diffamation envers SOS Méditerranée, après avoir accusé l’ONG d’être « complice du trafic d’êtres humains ».
Relaxé en 2023 pour diffamation raciale, après avoir tweeté « L’immigration tue la jeunesse de France » en mentionnant un crime commis par un Sénégalais.
Relaxé en appel en 2023 pour injure sexiste, après avoir qualifié la sénatrice Samia Ghali de « point G de Marseille ».
Condamné en 2021 à une amende pour une campagne d’affichage sauvage à Aix-en-Provence, où il associait « immigration » et « islamisation » à la « racaille ».
Condamné en 2021 à deux mois de prison avec sursis et 3 000 € d’amende pour provocation à la haine raciale, après une vidéo qualifiant les migrants de « voleurs, violeurs et terroristes en puissance ».
Poursuivi en 2022 pour violences volontaires en réunion, après l’attaque des locaux de SOS Méditerranée en 2018 avec d'autres membres de Génération identitaire.
Condamnée en 2021 à deux mois de prison avec sursis et 3 000 € d’amende pour injures publiques après avoir qualifié l’arrivée de migrants de « scandaleuse » dans une vidéo YouTube.
Condamnée en 2022 à huit mois de prison avec sursis pour son rôle dans l’intrusion violente au siège de SOS Méditerranée en 2018 avec d’autres militants identitaires.
Signalée en 2023 au procureur pour propos racistes sur BFM TV, affirmant que « le principal danger pour les femmes, ce sont les hommes immigrés africains, noirs et arabes ».
Philippe Le Grand : Directeur de publication de "Breizh-info", condamné aux côtés de Yann Vallerie en 2023 pour les mêmes motifs.
Cris de singes, scandant, bras tendus et levés, « Bordeaux nationaliste ».
✅ Rétablir la réalité juridique : rappeler que la liberté d’expression a des limites légales (lois contre la haine, la diffamation, etc.).
✅ Déconstruire leurs discours : démontrer leurs contradictions et leurs manipulations sur le "politiquement correct".
✅ Visibiliser les censures qu’ils imposent eux-mêmes : montrer comment l’extrême droite réprime les idées progressistes.
✅ Soutenir les médias et associations antifascistes : liste ici.
✅ Ne jamais accepter leurs termes : ne pas utiliser "woke" ou "politiquement correct", qui sont des pièges rhétoriques.
📢 ➡️ La liberté d’expression n’est pas un prétexte pour laisser le fascisme s’installer !
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Seront punis des peines prévues à l'alinéa précédent ceux qui, par ces mêmes moyens, auront provoqué à la haine ou à la violence à l'égard d'une personne ou d'un groupe de personnes à raison de leur sexe, de leur orientation sexuelle ou identité de genre ou de leur handicap ou auront provoqué, à l'égard des mêmes personnes, aux discriminations prévues par les et du code pénal.
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Constitue une discrimination toute distinction opérée entre les personnes physiques sur le fondement de leur origine, de leur sexe, de leur situation de famille, de leur grossesse, de leur apparence physique, de la particulière vulnérabilité résultant de leur situation économique, apparente ou connue de son auteur, de leur patronyme, de leur lieu de résidence, de leur état de santé, de leur perte d'autonomie, de leur handicap, de leurs caractéristiques génétiques, de leurs mœurs, de leur orientation sexuelle, de leur identité de genre, de leur âge, de leurs opinions politiques, de leurs activités syndicales, de leur qualité de lanceur d'alerte, de facilitateur ou de personne en lien avec un lanceur d'alerte au sens, respectivement, du I de l'article 6 et des relative à la transparence, à la lutte contre la corruption et à la modernisation de la vie économique, de leur capacité à s'exprimer dans une langue autre que le français, de leur appartenance ou de leur non-appartenance, vraie ou supposée, à une ethnie, une Nation, une prétendue race ou une religion déterminée. Constitue également une discrimination toute distinction opérée entre les personnes morales sur le fondement de l'origine, du sexe, de la situation de famille, de la grossesse, de l'apparence physique, de la particulière vulnérabilité résultant de la situation économique, apparente ou connue de son auteur, du patronyme, du lieu de résidence, de l'état de santé, de la perte d'autonomie, du handicap, des caractéristiques génétiques, des mœurs, de l'orientation sexuelle, de l'identité de genre, de l'âge, des opinions politiques, des activités syndicales, de la qualité de lanceur d'alerte, de facilitateur ou de personne en lien avec un lanceur d'alerte, au sens, respectivement, du I de l'article 6 et des , de la capacité à s'exprimer dans une langue autre que le français, de l'appartenance ou de la non-appartenance, vraie ou supposée, à une ethnie, une Nation, une prétendue race ou une religion déterminée des membres ou de certains membres de ces personnes morales.
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: Ancien président du Front National.
: Présidente du Rassemblement National
: Journaliste et homme politique, condamné à plusieurs reprises pour provocation à la haine raciale et injures racistes.
: Essayiste d'extrême droite, condamné à de multiples reprises pour antisémitisme, provocation à la haine, diffamation, injures publiques et négationnisme.
: Essayiste et militant d'extrême droite, condamné à de nombreuses reprises pour négationnisme, incitation à la haine raciale, antisémitisme et injures homophobes.
: Militant nationaliste et négationniste, condamné à plusieurs reprises pour contestation de crime contre l'humanité, provocation à la haine raciale et violences.
: Directeur de publication de Rivarol, multirécidiviste condamné pour incitation à la haine raciale, injure raciale et contestation de crime contre l’humanité.
: Ancien cadre du Front National, connu pour ses positions négationnistes et ses liens avec l’extrême droite internationale.
: Sénateur du parti Reconquête!
: Candidat du parti Reconquête!
: Ancienne porte-parole de Génération Identitaire.
: Fondateur de "Breizh-info", condamné en 2023 pour injures racistes et diffamation envers un journaliste.
: Ancien porte-parole de "L'Alvarium", condamné en 2023 pour injures racistes et diffamation. envers l'adjoint au maire de Trélazé Izzet Albayrak
: Condamnés en 2023 pour violences racistes et outrages sexistes.
: Condamné en 2024 pour outrage homophobe envers l'ancien Premier ministre Gabriel Attal.
: Député affilié à l’Union des droites pour la République, sous enquête en 2024 pour diffamation et menaces.
: Ancien vice-président du Front National, mis en examen en 2017 pour "contestation de crime contre l'humanité".
: Maire de Beaucaire, condamné en 2018 pour provocation à la haine et à la discrimination raciale.